Ce vendredi soir, à Guy-Piriou, la victoire était au bout de ses 90 minutes d'effort contre le CA Bastia. Concarneau reprend prise sur le podium à égalité avec la Berrichone de Châteauroux à la troisième place en offrant une maîtrise sur le jeu. Dans le contenu affiché, les Thoniers ont affiché un net progrès en retrouvant cette fraîcheur nécessqaire de jeu pour déarticuler leiurs adversaires. Le point de vue des deux coachs, Nicolas Claorec (US Concarneau) et Stéphane Rossi (CA Bastia).
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Nicolas Cloarec, coach de l'US Concarneau: " Nous avions les moyens de faire davantage. Nous n'allons pas faire la fine bouche. Ce soir, nous avons souffert alors que la domination sur le CA Bastia vaut plus qu'un but d'écart au tableau d'affichage. Nous avons le mérite ne pas avoir lâcher à plusieurs reprises. Des joueurs moins sollicités comme Herman Koré, Cyril Benamara, ou Antoine Demazeau apportent au groupe. On rentre Vincent Richetin ou Said Idazza. Nous avons retrouvé une certaine fraîcheur. Nous voulions nous mener à la lutte et nous sommes en plein dedans à cinq journées de la fin. Les joueurs bénéficient d'un week-end de trois jours. Le gros regret vient de nos situations. On doit mettre au moins un deuxième, voir un troisième but à la mi-temps. Je regrette juste qu'on soit trop tendre et qu'on aille dans des échauffourées de fin de match qui peuvent hypothéquer une fin de saison. Il n'y a rien eu mais tout compte. Aujourd'hui, il faut apprendre à faire le métier et à être humble quand tu gagnes. |
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Stéphane Rossi, coach du CA Bastia: " Nous avons senti qu'on pouvait revenir. C'est le football. Nous n'avons joué que 45 minutes sur 90 minutes. Ce n'était pas ce qu'on voulait faire. Nous voulions venir avec un bloc très compact. En position défensive ou offensive, récupérer des ballons hauts et utiliser la profondeur laissée par cette équipe de Concarneau. Nous n'avons pas été juste dans ce que nous voulions faire. Il n'y avait pas la justesse technique pour les mettre en difficulté. En seconde mi-temps, c'était un tout autre match. Nous ne sommes pas crée énormément d'occasions. Nous avons été encore plus vulnérable sur les contres. Nous pouvons peut-être marquer mais on peut en prendre également. Ce sont des derniers choix de passes mal ajustées qui me chagrinent. |
