Les Béliers de Kemper s'engouffrent dans une zone de turbulences face à Orléans
En tombant sur meilleur, ce samedi soir, notamment avec une paire orléanaise, Stark/Ogungbemi-Jackson (43 points, près de 50% des points de leur équipe), simplement inarrêtable, les Béliers de Kemper (13ème) n'ont pas tenu le choc, ce samedi soir, s'écroulant avant la mi-temps pour ne plus refaire surface, à la suite du match. Menés 34-48, à la mi-temps, dans une salle Michel Gloaguen, à guichet fermé, avec près de 2.000 spectateurs, les Quimpérois ont perdu cette continuité d'action qui leur aurait permis de passer cet avis de tempête adverse sur la deuxième moitié de rencontre. Dans une même lignée que la fin de match, à Châlons/Reims, où Quimper s'était délité sur le "money-time", là, la plaie a été ouverte plus tôt, avec un affaiblement visible dès le premier acte.
Certes, cette défaite (75-91) l'a été dans un jour sans quimpérois, mais elle révèle également un fil continu d'une équipe qui n'a pas de constance, ni de régularité dans ses performances. Sur le courant alternatif, englué dans la deuxième partie de saison, lui fermant l'accès à l'objectif de sa saison, les Play-offs ( pour une deuxième fois vraisemblablement de suite), les Béliers de Kemper ont encore une marge sur les deux derniers strapontins, synonyme de relégation en fin de saison.
La réponse sera d'ordre collective, pas de façon épisodique mais sur une vraie durée, pour garder cet appel d'air sur le fond de classement, et retrouver le trait d'union avec l'objectif collectif de leur saison.
