Plein phare sur la 36ème édition du Mondial Pupilles de Plomelin

1986 - 2024, 38 ans de Mondial en Finistère-Sud, des générations entières qui ont vécu localement leurs 12/13 ans, comme une sorte de communion sportive, autour ce tournoi. Même entrecoupé par trois ans de rupture sanitaire, le Mondial est reparti l'an dernier, avec bonheur, pour le patrimoine sportif qu'il représente en Cornouaille, et d'une façon général, cette symbolique du foot, de l'enfant et du jeu. Le redémarrage a été dur, logique après trois éditions sautées, mais ce crû a été anticipé plus tôt. " Nous avons plus d'équipes étrangères que l'an dernier. Il y'a toujours le souci des visas, des transferts de dernière minute, mais on est mieux calé cette année", souligne Jean-Jacques Cariou, le président du Mondial Pupilles. Seul tournoi en France, en jeune, à aller sur une formule de quatre jours, le Mondial Pupilles a la particularité quasi unique égalemment, d'être un tournoi partagé, entre 8 centres masculins, 3 féminins, avec un nouveau "bizuth", Quimperlé ( " On les sent hyper-motivés et enthousiaste de faire partie de l'aventure"), avec un point de chute et convergeant à Pennanguer, à Plomelin, le dimanche. 20.000 spectateurs attendus sur les 4 jours, 5.000 le jour de la finale, le Mondial se lance pour sa 36ème édition masculine, la 9ème féminine. Le FC Porto en tête d'affiche, 18 équipes L1/L2, un gros plateau en féminines, le plus gros des neuf premières éditions, l'attraction de Zanzibar chez les filles, sur le plateau de Quimper, qui sera suivi par une équipe de télévision nationale de la Tanzanie, tout au long du tournoi. Ce modèle unique se jouera du jeudi 9 au dimanche 12 mai.